Aujourd’hui, Alzheimer touche 900.000 personnes en France, et 225.000 nouveaux malades chaque année.
85 % des malades sont touchées par une atteinte au niveau de la mémoire épisodique, c‘est-à-dire la mémoire des évènements personnels : on oublie les faits récents.
Plus grave, l’extension des lésions se caractérise par un trouble du langage, de la connaissance des objets et des personnes, qui mène à une perte d’autonomie, voire à une démence.
La stimulation intellectuelle joue comme un facteur de prévention, et ce d’autant plus que la stimulation a été précoce. Ainsi, avoir une réserve cognitive permet de tamponner l’effet des lésions. En effet, il faut savoir que les lésions précèdent les symptômes !
Si on a un réseau synoptique développé grâce à notre niveau culturel, à notre motivation et à nos interactions, on va retarder l’arrivée de la maladie clinique : les lésions sont bien là mais elles s’exprimeront plus tardivement.
C’est pour cela qu’il est nécessaire de booster dès maintenant sa mémoire, et ce dès l’enfance. En découvrant les neurosciences, on explore son cerveau et on exploite ses ressources intellectuelles.
La lecture, l’apprentissage, le jeu, le bricolage ont été scientifiquement identifiés comme des facteurs potentiellement protecteurs de la maladie.
Améliorer ses capacités d’apprentissage et de mémorisation, apprendre à planifier son temps, établir des stratégies de mémorisation et de concentration sont autant de compétences proposées par nos formations Multineurones.